Naissance et cursus scolaire

Né le 23 Août 1954 à Akure, un village du Nigeria, Philip est l’aîné d’une famille de neuf enfants. Doté depuis le bas d’une intelligence hors du commun, il est considéré par sa famille et ses voisins comme un prodige. Grâce à ses compétences en mathématique, il fit surnommé : <> par ses environnement. Son père s’est beaucoup battu pour sa réussite.

Cependant, il quitta l’école à l’âge de 14 ans. Il obtient à 17 ans une bourse à la Stage Oregon University. Dans cet établissement, il obtient son baccalauréat en mathématique. Il débuta en 1974 son cursus universitaire. Il décroche à l’Université de Michigan un Doctorat en Informatique scientifique. Ensuite, à l’Université George Washington, il obtient également deux masters.

De la Théorie à la parfaite pratique

Docteur Philip Emeagwali use de son expertise en mathématique et en informatique en fin de développer des méthodes permettant d’extraire d’avantage de pétrole des champs pétrolifères. Après ce succès, il se consacre au développement des supers-ordinateurs capables de simuler les courants climatologies sur une période d’un siècle en vue d’enquêter sur le réchauffement de la planète. Il est considéré comme un inventeur multidisciplinaire ayant développé des logiciels capable de résoudre des problèmes complexes longtemps classés dans les insolubles

Son architecture informatique est parvenue à faire le miracle. Elle a permis à 65 000 proceseurs travaillant de concert de réaliser le plus grand nombre d’opérations jamais réalisé par un ordinateur en une seconde, soit 3,1 milliards de calculs. C’est la toute première mondiale. Ce chiffre représentait trois fois la vitesse des supers-ordinateurs du moment, à un cinquième du coût.

Distinctions personnelles

Docteur Philip Emeagwali, grâce à son travail, a obtenu beaucoup de prix tant national qu’international. Parmi ses prix les plus notoires, nous avons : le Prix Gordon Bell Electrical Engineers obtenu en 1989, considéré comme le prix Nobel de l’informatique. Il est l’un des grands éminents inventeurs afro-américain du vingtième siècle. Il est classé depuis Août 2004 par les 35 meilleurs africains de tous les temps dont le plus grand scientifique africain de tous les temps.

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Comment est-il parvenu à parsemer cette réussite notoire ?

Naissance et cursus scolaire

Mamadou Sinsy Coulibaly est né en 1956 à Dakar. Il fut ses études primaires et secondaires à Mopti et à Bamako. Il effectua ses études supérieures à Jussieu et à l’écoles supérieure du commerce des réseaux automobiles du Mans. Il obtient un Diplôme d’ingénieur en Union Soviétique.

Carrière entrepreneuriale

Mamadou Sinsy Coulibaly crée sa toute première entreprise en 1974 à Paris. Il s’agit d’une entreprise de sécurité. Comme à Paris, il crée une autre aux Etats-Unis. Il retourne au Mali en 1980 pour fonder le groupe Kledu. Cette entreprise a un caractère multi dimensionnel. Elle est présentée dans beaucoup de secteurs. Mamadou Sinsy Coulibaly est également le pionnier du Business Angel au Mali. Il est également depuis 2015 le Président du Conseil National du Patronat du Mali.

Le groupe Kledu, un empire en extension

Le Kledu est l’une des meilleures entreprises du Mali. Ce groupe dénommé Kledu, est présent dans plusieurs secteurs de l’économie et de la communication. Mamadou Sinsy Coulibaly, Patron du groupe, est le principal forgeant de ce modèle de success story. Il est un véritable leader doublé d’un entrepreneur hors-pair. Aujourd’hui, le groupe Kledu est présent partout au Mali.
Ainsi, on l’a entre autre dans les domaines du tourisme, de la billetterie et du Hadj, avec Tam voyages, dans la distribution avec Tam courrier, de l’imprimerie de qualité avec ImprimColor, des services de blanchisserie avec Kledu Pressing, la bureautique avec SPI. Parmi ses actifs les plus importants, il faut noter son pôle de communication qui comprend la Radio Kledu, la plus écoutée de Bamako, K2FM, le mensuel d’information gratuit, le Dourouni, une agence de communication, le bouquet satellite Malivision et bientôt une station de télé.

Mamadou Sinsy Coulibaly est aussi défenseur de la biodiversité et de l’environnement. Il vient de prouver par un investissement dans une grande ferme à la Faya dénommée « Ferme Kledu »

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Naissance et début carrière musicale

De son vrai nom, Bintogoma Traoré, Black So Man est né le 11 Mai 1966 à Koudougou, au Burkina Faso. Son surnom est tiré de l’expression : « Black is also man ». Cette expression était un cri contre l’injustice faite aux noirs traités comme un moins que rien. Bintogoma s’est dégagé dans le combat de la restauration de la dignité humaine. Dans son village, son combat prend l’allure d’une expression scénique.  Alors il voit ses ambitions devenues grandes. Passionné de la musique, il se rend en Côte d’Ivoire.

Le reggae comme style musical 

Avec ses textes engagés, Black So man devient très vite une icône de la musique Burkinabé. Son style est adulé tant par les burkinabé de l’extérieur et de l’extérieur. Il critique dans ses chansons de façon métaphorique les conditions qui prévalent et les élites politiques. Son premier album a connu un très grand succès. Black est ainsi devenu une référence de la musique burkinabé. Aucun de ses titres ne passaient plus inaperçus. Black So man était vu comme le porte-voix d’une jeunesse libre car il disait tout haut ce que d’aucuns pensaient tout bas. Parmi ses titres à succès, nous avons : « On s’en fou » ; « Maman » ; « Adji » ; « J’étais au procès » ; « Etalon ». 

Circonstances de décès floues 

En Décembre 1987, il fit victime d’un tragique accident de circulation en Côte d’Ivoire. Cet accident lui a laissé paraplégique. Black So man succomba au début de l’année 2002. Cependant une rumeur répandue au Burkina sur sa mort. Cette rumeur nous apprend que Black So man avait été tué pour sa critique du système. Une déclaration de sa femme semble corroborer cette hypothèse. Selon cette dernière, la confusion est due au fait que l’accident a eu lieu dans une zone sécurisée par le régiment de sécurité présidentielle.

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Le balafon est un instrument à percussion venu d’Afrique occidentale. C’est une sorte de xylophone, à cinq ou sept niveaux de sons différents. Le premier balafon serait né dans le Royaume de Sosso, entre le Mali et la Guinée. Mais, on le trouve partout en Afrique Noire. La taille, la forme, le nom, les accords diffèrent, mais son mode de fabrication est analogue dans tout le continent : des lames de bois posées en travers d’un cadre que l’on frappe à l’aide de baguettes.

Le nombre de lattes du balafon varie en fonction de la région où il est joué, et de l’accord qu’on veut lui donner. Il est généralement accordé sur une gamme de 5 notes, mais il peut l‘être aussi bien sur une gamme de 7 notes.

Deux types de balafons tendent à se « démocratiser » en Afrique occidentale :

• le balafon à grosses calebasses, et de 14 à 18 lames larges (régions de Kolokani au Mali et Bobo Dioulasso au Burkina Faso), aux sons graves. On l’appelle parfois Bala dioula.
• le Balani, balafon à petites calebasses, aux lames étroites (3 à 4 cm), utilisé dans les orchestres, et à la tessiture plus élevée. Il comporte généralement 21 lames.

Le balafon est composé d’une structure de bois légère nouée avec des lanières en cuir, sur laquelle des lames en bois dur (bois de vene) sont rangées en taille et hauteur croissantes (plus les lamelles sont courtes, plus le son est aigu) ; des paires de petites calebasses sont placées en dessous formant des caisses de résonance. Parfois ces calebasses sont percées et les trous sont recouverts de membranes qui vibrent (système du mirliton). Traditionnellement ces membranes sont des toiles d’araignées ou des ailes de chauves-souris, aujourd’hui remplacées par du papier à cigarette ou une fine membrane en plastique. Les calebasses sont de plus en plus grandes d’un côté, donc le balafon est plus haut d’un côté que de l’autre. Il y a aussi une paire de baguettes en bois munies d’un embout en caoutchouc.

Les lames sont fournies par le forgeron, mais c’est le balafoniste qui va les accorder et les monter sur l’instrument. Ces dernières sont séchées et longuement durcies au feu (cela peut prendre jusqu’à deux mois pour les balafons de qualité). Elles sont ensuite accordées une à une : pour rendre le son plus grave, on gratte le dessous de la lame, pour le rendre plus aigu, on en gratte les extrémités ; c’est pourquoi les lames des notes graves sont plus longues que les aiguës. Enfin, on les fixe au cadre à l’aide de cordelette. Les calebasses sont choisies, elles aussi, en fonction de leur taille : plus petites pour les aigus, plus grandes pour les graves. Chacune d’entre elles est aussi accordée suivant la même note que la lame dont elle sert de résonateur.

Un balafon est généralement capable de produire de 18 à 25 notes (et comporte donc autant de lames). Cependant, certains balafons portables en comportent beaucoup moins.
Traditionnellement, le balafon malinké est accordé suivant sept notes équidistantes. Mais, aujourd’hui, de plus en plus de balafonistes résidant hors d’Afrique accordent leurs instruments suivant la gamme occidentale, pour pouvoir jouer avec les autres instruments dans des orchestres.
Quand il n’est pas en position de jeu, le balafon repose verticalement appuyé contre un mur, les lames contre la paroi et les petites lames en bas.

Jeu

On en joue soit debout avec des sangles soutenant le balafon, soit assis.
Un orchestre comprend souvent trois balafons, un grave, un médium et un aigu accompagnés de tambours verticaux (djembé) et de tambour d’aisselle (tama). Au Cameroun, certains orchestres comportent aussi un saxophone, ce qui permet à la musique traditionnelle d’évoluer.

Le balafon est, en Afrique, comme beaucoup d’instruments, réservé aux hommes, les femmes se contentant du chant et de la danse. Traditionnellement, chez les Malinkés, le balafon est exclusivement joué par les griots, caste de musiciens-conteurs garants de la tradition orale et de l’histoire des grandes familles. Mais on voit maintenant des musiciens africains non griots se mettre au balafon mandingue, ainsi que quelques musiciens occidentaux. Mais cela reste très marginal à cause de la complexité de l’instrument qui nécessite de nombreuses années d’apprentissage qui se fait, pour la quasi-totalité, au sein des familles de griots.

C’est à travers les premiers spectacles des ballets africains de Fodéba Keita ainsi que des ensembles instrumentaux nationaux de Guinée et du Mali que l’Occident découvre le balafon malinké dans les années 60. Mais il faudra attendre le développement des musiques africaines vers la fin des années 80 pour que son emploi se développe en Occident. Moins populaire en France que le djembé ou même la kora, le balafon est, cependant, entré dans de nombreux orchestres. Les musiciens réunissent djembés, kora, ngoni et les balafons, et en les mêlant aux guitares électriques ainsi qu’aux synthétiseurs, créent un style nouveau fortement emprunté de sources traditionnelles, mais dont l’orchestration en fait une musique résolument moderne. Popularisé par de nombreux disques, ce phénomène a permis la diffusion de la culture mandingue hors d’Afrique.

Les grands joueurs de balafon ont des noms connus : El Hadj Djeli Sory Kouyaté, Mory Kanté, Adama Condé, Gert Kilian le balafoniste blanc, Seydou Diabaté dit « Kanazoé », Amadou Kienou, Lansiné Diabaté…

Quel avenir
pour le balafon?

Va-t-on assister à une transformation du balafon ? On a vu que de nombreux balafonistes ont modifié l’accord de leur balafon afin de s’adapter aux gammes occidentales. Ce phénomène risque-t-il de se généraliser au point que les gammes traditionnelles se perdent ? C’est un risque à long terme, car on observe aussi ce phénomène en Afrique, quand les balafons sont mélangés aux instruments modernes comme les guitares et claviers. On peut aussi imaginer des adaptations diverses de l’instrument telles que la multiplication des lames pour ajouter les dièses ou bémols aux instruments accordés à l’occidentale, utilisation d’autres essences voire même d’autres matériaux pour la fabrication, apparition de balafons numériques, qui sait ? Seul l’avenir nous le dira.

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À 21 ans, il s’est comme un entrepreneur de haut taille en Côte d’Ivoire voir même en Afrique. Il s’est fait distinguer en remportant beaucoup de prix. Il a gagné le Pris du Business Plan Compétition (BPC), le Prix national d’Excellence du meilleur chef d’entreprise catégorie jeune de Coté d’Ivoire, le Prix Tony Elumelu et le Prix Anzisha. Son sens de leader lui a permis d’être se hisser à la place de promoteur de la ligue des jeunes Entrepreneurs de Côte d’Ivoire.

À 25 ans, Ben Aziz est titulaire d’une licence en Comptabilité et finance et un Master en Management des Affaires. Il est propriétaire de plus de dix entreprises. Cependant, son entreprise far reste : Volaille d’or.

Entre vision et optimisme, Ben Konaté a transformé sa petite ferme en unité plus importance. En effet, il a mis en place de nombreux points de vente dans plusieurs villes du pays. Son entreprise produit les volailles et les repas chaud grâce à son fastfood dénommé « doux ». Etant défenseur et promoteur des entreprises jeunes ivoiriennes, Ben collabore avec de nombreux entrepreneurs. Volaille d’or se positionne pour être la troisième entreprise nationale de commercialisation des volailles aux côtes des deux grandes qui existent déjà.

Avec son succès notoire dans l’entreprenariat, Ben s’est engagé à aider d’autres jeunes à sortir du chômage. A cet effet, il a offert 100 bourses à 100 jeunes entrepreneurs dans la commune de Bingerville.

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Salif Keïta, né le 25 août 1949 à Djoliba (Mali), est un chanteur et musicien malien révélé en 1979 avec le titre « Mandjou »
Salif Keïta est descendant en ligne directe du fondateur de l’Empire du Mali, Soundiata Keïta.

Il souffre d’albinisme dans une région où les albinos sont mal vus en raison des pouvoirs maléfiques qui leur sont attribués. Après ses études, il rêve de devenir instituteur mais il est recalé à cause de sa mauvaise vue. Il décide alors de devenir chanteur ce qui va créer un scandale dans sa famille. Traditionnellement, la musique est réservée à la caste des griots, et les Keïta sont une famille de prince. Il est rejeté par sa famille et part à Bamako en 1968. Il intègre le groupe du saxophoniste Tidiani Koné, le « Rail band de Bamako », qui joue tous les soirs au buffet-hôtel de la gare à Bamako, et obtient d’importants succès avec son répertoire composé d’airs traditionnels interprétés de façon moderne.

En 1973, il rejoint un autre groupe, Les Ambassadeurs, qui joue d’abord au motel de Bamako, puis il s’installe à Abidjan, en Côte d’Ivoire. En 1978, il y enregistre son premier album Mandjou dans lequel il rend hommage au président Guinéen Ahmed Sékou Touré et au peuple mandingue.

En 1980, il enregistre aux États-Unis deux disques : Primpin et Tounkan. En 1984, il quitte Abidjan pour revenir à Bamako et retrouver sa famille, notamment son père vieillissant. Il participe cette année au festival de musiques métisses d’Angoulême (France). Il rencontre un succès auprès du public français, et vient s’installer en France à Montreuil d’où il anime de nombreuses fêtes traditionnelles dans la communauté malienne immigrée. L’année suivante, il participe, à la demande de Manu Dibango, à l’enregistrement d’un album collectif Tam tam pour l’Afrique au profit de l’Éthiopie où sévit la famine. En 1986, il enregistre l’album, Soro, de blues-rock chanté en malinké. Cet album enregistré sous la houlette du producteur sénégalais Ibrahima Sylla pour le label Syllart sera révolutionnaire et portera Salif Keita comme une star internationale. Il participe alors au festival des Francofolies à La Rochelle en 1987, et à un concert organisé à Londres pour le 70e anniversaire de Nelson Mandela, aux côtés notamment du sénégalais Youssou N’Dour. Il sort en 1989 son second album en France Ko-Yan où à travers la chanson Nous pas bougé, il aborde les problèmes que rencontrent les immigrés maliens en France. Son troisième album Amen sort en juin 1991.

Son album Folon de 1995 est dédié aux enfants albinos pour lesquels il a créé une association. À partir de 1996, bien que toujours installé à Montreuil, il ouvre un studio d’enregistrement à Bamako afin d’aider les jeunes musiciens maliens (dont notamment Fantani Touré, Rokia Traoré…). En 1997, il sort un album Sosie composé de titres de chanteurs français (Maxime Le Forestier, Michel Berger, Jacques Higelin ou Serge Gainsbourg) interprétés à la kora ou au balafon. En juin 1999, il sort un nouvel album intitulé Papa où il évoque son père, décédé deux ans plus tôt. En 2001, il ouvre un club couplé à un studio d’enregistrement qui porte le nom de Moffou, nom d’une flûte utilisée par les enfants bergers. En mars 2002, sort un album portant le même nom.

Le 12 décembre 2004, à Johannesburg (Afrique du Sud), il est distingué aux Kora Awards pour l’ensemble de sa carrière. Lors de la cérémonie des Victoires de la musique 2010 en mars 2010, il obtient une Victoire dans la catégorie « Album musiques du monde de l’année »

Il est le père de l’athlète française Nantenin Keïta, spécialiste du 400 mètres. Atteinte d’albinisme et malvoyante, elle est double championne du monde en 2006 et en 2015 et double championne paralympique en 2008 et 2016.

En 2014, il participe au festival de musique du monde Esperanzah, en tant qu’invité d’honneur.

Prises de positions politiques
Il participe au concert « Libérez Mandela » à la Fête de l’Humanité de 1985, aux côtés de Manu Dibango, Max Roach, Eddy Louiss et Bernard Lubat.

Salif Keïta est candidat aux élections législatives maliennes de 2007. Il figure en troisième position sur une liste présentée par le Mouvement patriotique pour le renouveau, le Bloc pour la démocratie et l’intégration africaine (BDIA) et le Parti citoyen pour le renouveau (PCR) dans la circonscription de Kati. Il milite actuellement au sein du PCR.

Le 19 juillet 2010, Salif Keïta a été nommé Ambassadeur de la paix par Jean Ping, président de la commission de l’Union africaine, afin de soutenir « les efforts de la Commission pour résoudre les conflits et promouvoir la paix sur le continent »

Adoptant une théorie complotiste, Salif Keïta s’en prend au président malien Ibrahim Boubacar Keïta le 15 novembre 2019, et affirme que les djihadistes au Mali sont armés et financés par la France.

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Naissance et Cursus Scolaire

Natif de Ségou et fils de Modibo Diarra, un descendant de la dynastie des Diarra, Cheikh Diarra obtient son DEF à l’école fondamentale de Ségou en 1969. Orienté au lycée Technique de Bamako, il décroche son Bac en 1972 et s’envole à Paris. Il s’inscrit à l’Université Pierre et Marie Curie de 1974 à 1976. Il obtient une Licence en Mathématiques, Mécanique analytique et Physique dans cette dite université.

Cheikh Modibo Diarra commence dans cette même université une maîtrise en mécanique des fluides en 1977 et 1978.  Il quitte la France pour l’Amérique en 1979 et s’inscrit à Howard University. Dans cette université, il obtient une maîtrise en ingénierie du Génie Mécanique appliquée à l’astronautique en 1982 et un PH.D en Génie Mécanique en 1987.

Carrière Professionnelle

Cheikh M. Diarra devient entre 1984 – 1989 Professeur assistant à l’école d’ingénieurs de l’University de Howard. Il occupe par la suite le poste de  Directeur des Programmes d’éducation et d’information du programme d’exploration de la planète Mars, Program Manager au sein du programme d’exploration de la planète Mars et du programme New Millénium.

Il fît le tout premier Chief Exécutif Officier de l’Université Virtuelle Africaine de 2002 à 2003. Cheikh Modibo Diarra est, depuis 2006, le président de Microsoft Corporation pour l’Afrique. Il est de même, depuis Juin 2011 le président de la Fondation Georges  Forrest.

Distinctions personnelle

Cheick Modibo Diarra est détenteur de médailles et de décorations suivantes : Commandeur de l’ordre de l’éducation du Gabon, Commandeur de l’ordre du Mérite du Lion du Sénégal, Commandeur de l’ordre du Mérite National de la Côte d’Ivoire, Commandeur dans l’ordre des arts, des lettres et de la communication du Burkina Faso, Commandeur de l’ordre National du Mali.

Carrière politique

Cheikh Modibo Diarra fît nommé en 2012 au poste de premier ministre avec plein pouvoir. Étant dans ce poste, il a fait ses preuves.Il a beaucoup été apprécié par les maliens. Il finit par démissionner. Il créa par la suite son propre parti politique, Rassemblement pour le Développement du Mali (RpDM).

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Naissance et cursus scolaire !!!

Arthur Zang est né le 26 Novembre 1987 à Mbankomo au Cameroun. Il obtient une licence d’informatique à l’Université de Yaoundé en 2004. Il continue ensuite sa formation d’informatique à l’école nationale Supérieur Polytechnique à l’Université de Yaoundé. Il sort comme ingénieur en informatique, conception et Génie logiciel en 2010.

Le hic de sa découverte !

Après ses études, il part dans un service de cardiologie pour un stage. C’est dans ce service qu’il décida de mettre en place un logiciel capable de reproduire sur une tablette informatiqueélectrocardiogramme. Avec ce projet, il vise à rendre accessible, via internet, à un cardiologue capable d’analyser à distance les données enregistrées. Dans un soucis de mettre en hauteur de son projet, il prend des cours électroniques en  ligne. Son rêve devient une réalité et il attribue à sa tablette le nom : Cardiopad.

Avec cette invention, il obtient plusieurs bourses ou prix dont les plus notoires de la part du président de la république camerounaise, des institutions internationales ainsi que les financements participatifs. Arthur Zang fonde par la suite une entreprise dénommé Himore Médical Equipment. L’objectif principal de cette entreprise, c’est la production des cadiopad.

A quoi sert le Cardiopad ?

Cette tablette d’Arthur Zang vise une transmission à distance les résultats d’examen d’un patient aux cardiologues. Elle constitue une véritable révolution dans la médecine. Car elle permet de gagner énormément de temps surtout dans les zones enclavées. L’appareil est devenu incontournable dans le monde de la médecine. L’appareila une grande capacité de faciliter les examens cardiaques.

Ce qui rend l’appareil d’Arthur Zang très particulier, c’est qu’on peut l’utiliser même pour des examens à effectuér dans un endroit éloigné. Les résultats ainsi obtenus peuvent être envoyés directement grâce à un réseau sans fil, à des spécialistes ou des laboratoires afin de subir des analyses plus profondes.

A quoi ressemble son prochain projet ?

Arthur Zang ne compte pas arrêter là, tout porte à croire qu’il travaille sur un nouveau projet. Même étant en état embryonnaire, le projet est beaucoup apprécié car il s’agit de la mise en place d’un appareil pour l’échographie des femmes enceintes.

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Trevor est né en 1920 à Durban, en Afrique du Sud. Il a fréquenté le Lycée de Durban où il excellait en Mathématiques et en Sciences. Il part ensuite au Collège au Howard. Il était doté d’une mémoire quasi eidétique. C’est pour cela qu’il s’en passait souvent de prendre des notes lors des conférences.

En 1941, il fut formé avec un mathématicien d’origine hongroise du nom de Fejer, au projet britannique RADAR. Son association avec ce dernier dure pendant beaucoup d’années. Waldley n’était passionné de mathématiques mais Fejer a prouvé mathématiquement chacun de ses concepts.

Carrière Professionnelle

Wadley a été employé en 1946 en tant que concepteur d’équipement radio et d’instrumentation dans une division spéciale du Laboratoire de recherche en télécommunications. Il a commencé à travailler en 1948 sur un projet urgent pour la chambre Sud-africaine des mines pour fournir un moyen de communication radio souterraine à des fins de sauvetage.

Ses inventions

Docteur Wadley a développé au CSIR un appareil appelé Ionosonde pour mesurer l’ionosphère terrestre. Cet appareil est une forme spécialisée de détecteur radar utilisé pour la hauteur des couches ionisées d’air entre 50 et 600 kilomètres.

Docteur Wadley a inventé en 1948 le récepteur Wadley Loop. C’est un appareil qui permettait un réglage de précision sur de larges bandes. Il a été utilisé pour la première fois dans le Racal RA-17.

Sa plus grande invention : La telluromètre

Docteur Wadley a développé et inventé en 1959 le Telluromètre ou micros distance mètre MRA 1. Cet appareil a été utilisé pour mesurer Manhattan.

Docteur Wadley a pris sa retraite en 1964 à 44 ans et vécu sur la côte Sud du KwaZulu-Natal jusqu’à sa mort d’un cancer en 1981 à 61 ans.

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Natif de Cameroun, il est né en 1956 à Yaoundé. Il fît d’abord ses études primaires à l’école Ekoudou du quartier Briqueterie. Il fit ses études secondaires au Lycée Leclerc ou il obtient le Bac C en 1974.

Après son Bac, il bénéficie d’une bourse en Angleterre. En 1979, il obtient une maîtrise en télécommunication par satellite à l’Université d’Essex et puis un Doctorat en Génie électrique à l’Université de Birmingham.

Carrière Professionelle 

Après l’obtention de son Doctorat, il quitte l’Angleterre pour les États-Unis. La société américaine Hughes Network Systèmes (HNS) le recrute. Dans cette société, il participe au développement de la technologie Vert Small Aperture Terminal (VSAT). En 1984, il sera la toute première personne à installer un VSAT à Memphis au quartier général de Fédéral Express.

Il rejoindra la NASA quelques années plus tard. Il a été aussi membre du comité qui a mis sur pied la Technologie CDMA. Cette technologie est utilisée de nos jours pour les communications cellulaires aux États-Unis, en Asie, au Canada et en Amérique Latine.

Distinction personnelle

Docteur Simo a formé plus de 10 000 dirigeants et ingénieurs en télécommunication aux États-Unis et dans le monde entier. Il est aussi le PDG de la Compagnie Espace 2000 qu’il a créée. Il était classé en 2004 parmi les 50 meilleurs ingénieurs Américains-Africains des États-Unis dans le domaine des technologies. Il estconsidéré comme le tout premier africain à intégrer la NASA.

Il a été deux fois finaliste du programme des astronautes de la NASA en 1994 et en 1996.

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