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Voici la femme la plus avare au monde

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C’est ancré dans le comportement humain, les gens ont toujours tendance à s’intéresser à ceux qui flambent.

Par admiration, par jalousie ou simplement par curiosité, les dépensiers « no-limit » suscitent toujours notre intérêt. Oublions donc un peu Jordan Belfort et Dan Bilzerian, je vous présente Hetty Green, surnommée « la sorcière de Wall Street », une américaine qui détient le titre de la femme la plus avare du monde. Sa biographie en quelques chiffres…

200 millions, comme sa fortune évaluée au début du XXème siècle

Madame Green était l’une des rares financières de son époque. En 1865, son père meurt et lui laisse un héritage de 5 millions de dollars, une fortune considérable à l’époque. Mais le reste tient à deux caractéristiques : Son intuition pour les bonnes affaires et son incroyable avarice. Alors que tout le monde se méfie des « greenbacks », des obligations émises par les Etats-Unis pour financer la dette de la guerre civile, elle rachète des titres obligataires et engrange une centaine de millions de dollars.

1 comme le nombre de plats différents qu’elle « cuisinait »

Puis, pendant toute sa vie, elle se força à économiser le moindre cent. Elle mangeait toujours le même plat : de l’avoine trempée dans de l’eau tiède, qu’elle réchauffait sur un radiateur dans les bureaux où les courtiers la laissaient entrer. Car oui, elle n’avait pas de lieu de travail, ni même de propre maison : Elle passait son temps à s’inviter dans les banques, les bureaux de courtage, et les hôtels qu’elle louait sous de faux noms !

Mais même l’avoine coûtait trop cher pour elle ! L’astuce du radin ? Elle s’invitait dans des lieux de restaurations bons marchés et était réputée pour balancer une pierre dans la soupe qu’on lui servait ; c’est ainsi qu’elle exigeait son remboursement… D’ailleurs, les rares financiers avec qui elle était proche affirment qu’elle se baladait toujours avec un sac remplis de cailloux, dans l’éventualité d’un repas au restaurant. Hallucinant.

4, comme le nombre d’enfants que son avarice a failli tuer

Sa fille, Sylvia, était à moitié aveugle en raison d’une alimentation sous-équilibrée en vitamines.

Son fils, Ned, à l’époque âgé de 11 ans, s’ouvre le genoux en faisant de la luge. Alors que sa mère a les moyens de lui payer des soins dans les hôpitaux les plus prestigieux, elle décide de soigner elle même la blessure avec des chiffons sales qu’elle a récupérés. Après un court séjour dans un hôpital destiné aux pauvres, les frais médicaux étaient encore trop élevés à son goût : Elle soigne alors seule son fils, mais ce dernier attrape une gangrène en raison du manque d’hygiène. C’est finalement son père avec qui elle était divorcé qui paya l’amputation et le sauva in extremis !

Sa nièce et son neveu, laissés par leurs parents pendant l’été chez Tata-radine, sont devenus dépressifs et ont arrêté de parler pendant plusieurs mois après leur séjour. Ayant perdu chacun environ 10 kilos suite au manque de nourriture, leur tante les forçait à travailler dans une blanchisserie près de 12 heures par jour. Et c’est elle qui récupérait l’argent gagné. Merci Tata pour le régime.

1 million, comme le nombre de stratagèmes décalés pour économiser…

Son attachement maladif pour l’argent, en plus d’être grave, était particulièrement ridicule ! Alors qu’elle engrangeait chaque année plusieurs millions de dollars, elle ne portait qu’une seule robe, dont elle lavait uniquement la partie qui traînait sur le sol.

Ses sous-vêtements, dont elle négociait le prix chez le brocanteur, étaient portés pendant plusieurs mois sans être changés.Elle n’achetait pas non plus de savon, puisqu’elle ne prenait jamais de douches. On peine à imaginer l’odeur de Tata Green…

Enfin, elle revendait les journaux quotidiens qu’elle lisait au prix de 2 cents, et la légende raconte qu’elle ne choisissait que les biscuits abîmés lorsqu’elle allait chez l’épicier, puisqu’ils étaient moins chers ! Insupportable, c’est le mot que la plupart utilisait pour décrire cette insatiable économe. Si personne n’aurait aimé la côtoyer, on lui attribue au moins un profond respect pour son sens des affaires et de la négociation. Et ça, ça n’a pas de prix….

Source: e-Délit

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Written by LAST OF AFRIKA

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