Un homme en Zambie a été poursuivi par sa femme avec qui il est marié depuis sept ans et qui a deux enfants. Elle voulait que la Cour les réconcilie et ne comprenait pas pourquoi son mari avait décidé de divorcer et de faire de leur domestique sa femme.
Elle a dit à la Cour qu’elle aimait beaucoup son mari et qu’elle n’avait jamais digéré le fait qu’il ait fait une telle chose. Lorsque le tribunal a demandé à l’homme ce qu’il avait à dire en réponse à la position de sa femme, l’homme a déclaré catégoriquement au tribunal qu’il n’allait pas changer d’avis car sa décision était définitive. Il a poursuivi en disant à la Cour qu’il en avait assez de sa femme qui était trop paresseuse pour faire les tâches ménagères, laissant tout être fait par la domestique.
À deux reprises, les aînés les ont fait asseoir pour essayer d’arranger les choses, mais il n’y a eu aucun changement. La femme ne faisait rien à la maison et était toujours occupée à donner des instructions à leur domestique pendant qu’elle était assise emportée par le téléphone.
Le mari a en outre déclaré à la Cour que même pendant les week-ends lorsqu’elle ne travaillait pas, sa femme ne se donnait jamais la peine de lui cuisiner ses plats préférés comme elle le faisait dans les premiers jours de leur mariage. Elle était plutôt abonnée à des virées, revenant ivre dans certains cas, ce qu’elle n’avait jamais fait dans le passé.
Le mari est allé plus loin en demandant à la Cour d’examiner attentivement les longs ongles de sa femme si vraiment ce genre de femme pouvait faire des tâches ménagères. Donc, en ce qui le concernait, la domestique allait maintenant être sa femme puisqu’elle était celle à qui on demandait de tout faire à la maison, y compris de s’occuper des enfants.
Le mariage a été dissous car la Cour n’avait rien à faire.
Dans une autre histoire de domestique, une femme a raconté comment sa domestique mettait de l’urine à la nourriture qu’elle servait à sa famille
L’article Zambie: un homme divorce de sa femme et épouse la domestique est apparu en premier sur AfrikMag.
