in

« Je suis mal à l’aise dans ma propre peau » : se lamente une jeune femme victime de railleries

Partager c'est aimer!

black-lady-ft

Rejetée et insultée en raison de la couleur de sa peau, la jeune femme en a marre.

Mariam Besty Sule, telle qu’identifiée sur Facebook, a révélé que la société l’avait rendue si consciente et mal à l’aise avec sa peau sombre.

Elle a également révélé qu’elle retouche toujours ses photos pour paraître plus claire avant de les publier sur ses pages à cause de la couleur de sa peau.

« Je suis mal à l'aise dans ma propre peau » : se lamente une jeune femme victime de railleries

Mariam affirme avoir perdu plusieurs opportunités d’emploi à cause de son teint et certaines personnes lui disent toujours en plaisantant qu’elle est « trop noire. »

« Je suis très mal à l’aise dans ma propre peau, je retouche mes photos pour paraître plus claire à cause de ce que la société me fait ressentir.

On m’a souvent traitée de différents noms pour plaisanter, mais j’ai remarqué que cela me touchait vraiment… les blagues ridicules du genre « tableau noir », « vous êtes trop noire » ou « je ne peux pas donner naissance à un enfant noir. »

« Je suis mal à l'aise dans ma propre peau » : se lamente une jeune femme victime de railleries

J’ai perdu des opportunités d’emplois à cause de la couleur de ma peau et j’ai été insultée. Arrêtez de dire des choses blessantes aux femmes noires sous le couvert de la plaisanterie. Le noir c’est beau et j’ai appris à l’aimer et vous devez le respecter. Le noir c’est beau et mérite d’être dans tous les spectacles ! »

« Je suis mal à l'aise dans ma propre peau » : se lamente une jeune femme victime de railleries

Crédit photo : yabaleftonline

L’article « Je suis mal à l’aise dans ma propre peau » : se lamente une jeune femme victime de railleries est apparu en premier sur AfrikMag.

N'oubliez pas de laisser votre avis en commentaire !

Written by LAST OF AFRIKA

Voici ce qui a déclenché la fureur de GRAND P qui démonte KANTE l’humouriste malien

Nathalie Koah : traitée de prostituée, elle répond à ses détracteurs